Au sein de cet article, nous allons parler de la psychologie de l’argent avec Fabien Delcourt. On va parler des différents blocages, croyances ou encore de peur que vous pouvez avoir. Ainsi, il est préférable de faire cette émission à deux puisqu’il y a énormément de choses à dresser le sujet.

Cet article est un résumé d’une émission podcast et est dédié aux personnes qui souhaitent faire croître leur gain grâce à l’investissement :

François : Pourquoi quand on donne une information à quelqu’un, certains vont tout déchirer et d’autres vous avoir peur, avoir des croyances ou des blocages dans tous les sens ?

Fabien : c’est une excellente question. Pour illustrer ça, on va imaginer que tu vas me donner une stratégie d’investissement qui me permet de faire de l’agence facilement et une grosse rentabilité. La personne A, va pas avoir de problèmes particuliers. Il a le mindset et il va écouter. La personne B va tout simplement avoir une croyance que c’est dur de réussir. Ce denier va tout simplement se dire qu’il faut faire 12 heures de travail par jour pour réussir. Si quelqu’un partage un système qui permet de gagner de l’argent facilement et rapidement, l’information va être oublié par la personne B puisque ce n’est pas quelque chose qui a été intégrer dans son mindset.

François : si c’est une personne que je ne connais pas et qui est loin de moi, je peux comprendre. Mais par exemple, si c’est une personne de qui je suis proche, que je lui rabâche que c’est possible et que je lui démontre par A + B, comment peux-tu explique que cette personne retombe dans ses travers ?

Fabien : là je pense que sont tout simplement des personnes qui n’ont pas mis le doigt sur l’élément important dans leur inconscient. Et ainsi, cette dernière agira en fonction de ce que ce son inconscient lui dit de faire. Et cela peut avoir plusieurs raisons : cela peut de l’ordre de la tribalité et donc de l’appartenance au groupe. Cela peut concerner également le rapport du « moi avec moi ». En d’autres termes, cela peut être axé sur l’estime de moi ou encore la valeur que je m’accorde.

François : de manière générale, dans mes podcasts, je vais dans la technique et dans la profondeur comparée marché français. Mais c’est tout de même 80% de ce qui est dans la tête et 20% de technique, même pour des personnes qui viennent me voir au départ, sur des choses très techniques. Quelles seraient les solutions, les méthodes et les choses les plus efficaces que l’on pourrait mettre en place ? Ou alors, comment mettre le doigt sur les choses importantes dans un premier temps et ensuite quelles seraient les solutions ?

Fabien : ce sont vraiment des questions intéressantes. Mais la première question qu’il serait possible de se poser et que je trouve très intéressante et qui demande de se poser dessus, c’est « pourquoi je ne veux pas que ça marche ? », « quels sont les bénéfices pour moi de ne pas réussir, de ne pas gagner cet argent, de ne pas me lancer ? » Ou encore « pourquoi est-ce que j’ai intérêt à ce que cela ne fonctionne pas ? ». En effet, les gens qui viennent te voir, ils viennent avec l’idée que ça va être génial, mais également que cela va fonctionner.

François : ça je le remarque puisque au début la motivation est présente. Ça a même tendance à écouter très bien au début, mais après ça se complique.

Fabien : eh bien, depuis quelque temps, je prends souvent la métaphore de l’accélérateur et du frein. L’accélérateur, c’est le pourquoi, c’est la vision et c’est ce qui va permettre à une personne d’aller vers l’avant. Mais beaucoup de personnes ont des freins et c’est à ce niveau-là que ça se joue. Cela va donc être les croyances liées à des peurs et c’est pour cela qu’il faut se poser la question « pourquoi je ne le fais pas ? ». Cette question va tout simplement permettre de mettre des schémas que je n’avais pas forcément vus. Bien évidemment, il y aura des réponses qui vont venir à la suite de cette question.

Le deuxième point c’est tout simplement les zones d’ombre. C’est dire que tout ce que j’ai en moi, je le projette à l’extérieur. Cela peut également être des projections que j’ai sur les riches, sur les gens qui sont successful ou encore les personnes qui ne sont tout simplement pas comme moi. Et du coup, la partie que j’ai en moi qui aimerais être comme eux, je ne l’accepte pas et que je vais même jusqu’à la réprimer.

Il a plein de parties de nous. Par exemple, lorsque l’on est avec nos parents, on est plus enfant ou ado. Lorsque l’on est avec nos amis, on va activer une autre partie de nous. Il faut donc avoir conscience de ces différentes parties de nous elles activent ou faire ami ami avec elles pour qu’elles puissent émerger.

François : finalement on pourrait dire qu’il faut se faire violence et sortir de sa zone de confort pour essayer d’aller chercher, mais également mettre le doigt dessus sur le problème en question. Mais comment elle va y arriver ?

Fabien : mais pour moi, justement, il ne faut pas se faire violence. Tout simplement parce que l’on va être dans des injonctions sous forme de « il faut faire… ». Néanmoins, il faut tout de même aller dans l’inconfort. Quelque part, cela signifie tout simplement d’être à l’aise avec cet inconfort, c’est-à-dire pour le premier élément important est de plonger dans le vide, c’est-à-dire, de faire de l’espace dans son quotidien pour commencer à voir ça. Pour être plus concret, il y a deux façons de faire :

  • Ça bloque jamais au niveau de la tête : c’est-à-dire que je peux avoir des pensées négatives ou parasites, mais ça va toujours rester connecté avec des émotions, à des trucs beaucoup plus profond. Ainsi, il faut se permettre et s’autoriser.
  • La deuxième chose est tout simplement le fait que malgré tout ce que j’ai testé ça bloque ou ça coince, il est possible que ça vienne de la partie reptilienne du cerveau. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on ne peut pas la raisonner ou on ne peut pas chercher à la convaincre. Ainsi, le fait de rien faire peut permettre à une personne de réussir.

François : est-ce que tu as des sources à partager ?

Fabien : ce n’est pas que je n’ai rien fait. C’est tout simplement que je n’ai rien fait de ce que je voulais, mais sinon, j’ai fait pleins de chose. J’ai pleins de pseudo-tâches en regardant des vidéos, en allant sur les réseaux et en espérant être productif. Mais c’est un évitement. Une super ressource que je peux te donner est « l’observation de soi » de Red Hawks. C’est la première étape à réaliser.

François : ce n’est pas forcément évident. Mais il y a une autre méthode, d’ailleurs, c’est tout simplement d’aller chercher et de creuser vraiment où le problème se situe dans la vie de la personne, ensuite de voir où physiquement l’énergie se retrouve et à ce moment-là d’aller retranscrire l’énergie sur ce point-là.

Fabien : je ne connais pas exactement ce dont tu parles, mais je vois à peu près le système. On peut prendre l’exemple du sang : à certains endroits il va circuler, mais à d’autres endroits, c’est bloqué et il ne peut plus circuler. Mais pour cela, il faut revenir à quelque chose de plus terre à terre et non d’aller chercher les réponses dans le mental. C’est là où questionner le corps devient plus intéressant.

François : les blocages peuvent également partir de choses très simples, mais également être plus compliqués à gérer. Est-ce toi tu as des personnes que tu n’as jamais réussi à aider à surmonter des blocages ?

Fabien : oui bien sûr, il y a des gens que je n’ai pas réussi à aider. Et c’est parce que soit la personne n’est pas prête. Et il y a un schéma où la personne ne va pas jusqu’au bout du coaching, puisqu’elle fuit ce dernier. Elle va tenir à son contrôle.

D’ailleurs, dans le livre Clarity, il est expliqué que chaque situation extérieure va m’amener quelque, mais que c’est de moi que proviennent les solutions. Chaque personne tient à sa sécurité. C’est tout simplement de construire à l’intérieur de soi une sorte de pilier sur lequel je pourrai m’appuyer.

François : il y a une très grande majorité des gens qui soit seule ou quand tu te fais accompagner, en grande majorité, les exercices fonctionnent. Mais il y a toujours des personnes pour qui ça ne va pas fonctionner du tout.

Fabien : la clé pour ces personnes-là, je pense que c’est simplement de se donner la permission. Souvent ce sont des personnes qui ne se sont pas donné l’autorisation de changer, par exemple. Nous sommes tous assez grand pour nous donner la permission à nous-même.

François : je connais certaines personnes pour qui la machine a mis des années à se mettre en marche, parce que c’était trop tôt, il a mis des années à y arriver. Mais quand il y a un gros changement et que c’était le moment, c’est devenu des machines. Mais pour d’autres, il n’y a pas eu de changement. Mais le pire, ce sont les personnes qui peuvent payer parfois très cher pour que quelqu’un les aide, mais finalement il n’y a pas de changement : c’est frustrant !

Fabien : c’est clair puisque l’on pense que la personne est volontaire, mais si l’intention derrière c’est d’être sauvé et que tu fasses le job à sa place, ça ne fonctionnera pas. Le duo « responsabilité / décision », on ne peut que le prendre soi-même.

François : est-ce que tu pourrais parler deux minutes du sujet de la spirale dynamique ?

Fabien : cette notion de la spirale dynamique est plutôt intéressante puisque l’on est tout en bas, dans une vision ultra-matérialiste et ultra-survie du monde et lorsque je suis là-dedans, en mode survie, mon cerveau est éteint. Avec cette vision, les personnes assouvissent leurs besoins primaires : on en revient à la pyramide de Maslow.

En nous autorisant à voir autrement et à avoir un autre point de vue, je vais tout simplement évoluer mon niveau de conscience. Mais j’aimerais tout de même ajouter un élément important : dans le développement personnel, il y a un mensonge dans lequel tout le monde croit c’est l’idée où il y a un chemin avec une finalité où il faut arriver. Cela met une distance entre le moi idéal et le moi d’aujourd’hui.

François : d’ailleurs, dans la spirale dynamique, lorsque l’on est bas, tu n’es pas conscient du niveau auquel tu es, ni même qu’il a d’autres niveaux au-dessus, mais aussi en dessous.

Fabien : lorsque l’on veut changer quelque chose dans notre vie, il y a toujours un prix à payer qui est colossal. On renonce à pleins de choses. Mais il faut aussi noter qu’il y a un courant, qui est tiré d’un livre « Rethinking positive thinking ». Le but est de se projeter dans « comment ça pourrait foirer ? ».

François : pour moi c’est un mix entre l’intelligence et l’intelligence émotionnelle.

Fabien : oui, le but est vraiment de ne pas planifier l’avenir parce que je n’en sais rien, mais il est toujours possible d’anticiper ce qui pourrait arriver. Je trouve des réponses avant d’être confronté au problème.

François : J’aimerais te poser une question que je pose à tout le monde : qu’est-ce que tu crois être vrai et que tout le monde croit être faux ?

Fabien : que tout le monde croit vrai, je dirai que c’est d’avoir des objectifs ou un but dans sa vie. J’ai très longtemps cru à ça et je trouve aujourd’hui que c’est complètement faux, puisque si je suis dans le « il faut avoir un pourquoi », je suis dans le déni et le refus de ma situation.

François : comment tu voudrais conclure cette émission ? Comment on peut te retrouver ? Quelle est ton actualité ? Et un petit mot de la fin ?

Fabien : lorsque je dis que j’aide à retrouver la paix et l’harmonie, toute la clé est là puisque tout le monde recherche la paix. Le but est tout simplement d’arrêter cette quête infinie. Et l’harmonise se trouve quand on a de la discussion et du dialogue dans les différentes parties de soi.

On peut me retrouver sur mon site fabiendelcourt.com, j’ai créé un test qui permet d’identifier le type de blocage que l’on rencontre.

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