Cet article est un condensé d’une émission podcast que vous pourrez retrouver ci-dessous.

François : Aujourd’hui, nous allons recevoir Rémy au sein de notre émission. Je vais lui laisser la main sur le programme de cette émission. On a un programme très chargé. Nous allons parler d’énormément de choses. Il y aura forcément un sujet qui va vous intéresser. Nous allons parler d’économie, de nature, de pornographie, de relations homme / femme, de jeux d’argent, de politique ou encore de wokisme.

Programme et solutions

François : Rémy, quel est l’objectif de cette émission et peux-tu nous partager le programme ?

Rémy : Le podcast que j’ai voulu te propose est à la dois une synthèse de mon raisonnement que j’ai depuis 5/6 ans, après m’être intéressé à tout ce qui est « pari sportif » au début, puis ça été les cryptomonnaies, la bourse de manière générale, que ce soit les actions du côté basique, mais également les métaux ou le forex, qui font que chaque domaine peut avoir une mentalité spécifique et particulière. Cela peut être lié à différentes chose comme la géopolitique, par exemple. Il y a énormément de domaines d’investissement possible. Mais dès que l’on touche à la nature, il y a une certaine manière d’investir.

François : la première partie dont nous allons parler n’est autre que le social. Mais dans le social, il y a quand même beaucoup de choses, comme la psycho et le comportement. Finalement, c’est ce qui fait l’humaine et le réaction de ce que fait l’être humain. Et c’est vrai que cela impact directement tout le reste. Par quoi souhaites-tu commencer ? Sachant que ce matin, lorsque tu m’as appelé, tu m’as dit que je ne serai pas déçu du podcast et que tu finissais de le préparer. Et tu m’a dis qu’il y aurait un peu d’émotionnel tellement ça m’énerve.

Rémy : Pour rappeler un peu mon parcours. Moi j’ai un profil ingénieur, j’ai été responsable dans l’automobile, ensuite j’ai eu les deux ans de COVID où j’ai essayé de me lancer au meilleur moment ce tout ce qui est investissement, bourse ou encore trading. J’ai tâtonné et j’ai aussi eu mon lot émotionnel à côté parce j’fais un prêt bancaire et que tu allies un peu les dépenses du quotidien avec le besoin d’entreprendre et d’obtenir des résultats. Il y a pleins de chose qui ont fait que j’ai énormément grandit. Et là je suis actuellement dans une entreprise agroalimentaire. Et ça va évoluer petit à petit : tous les six mois, un an, je pense que je vais changer de domaine parce que je fais du consulting, de la reptation de service. Ce qui m’intéresse là-dedans, c’est de changer et d’évoluer. Mais l’introduction de ce podcast est tout simplement que l’on part du social. Il faut savoir que la société s’est imposée d’elle-même en fonction de nos besoins. Donc nous n’avons pas vraiment vraiment réfléchit à comment cette dernière allait fonctionner. Et le problème de la société actuelle, c’est qu’elle n’a pas vraiment évoluer en termes de psychologie par apport à l’après-guerre de 39/45. On a eu les trente glorieuses qui nous ont amenés à un capitalisme important, mais le problème, c’est que l’on a des éléments psychologiques qui sont apparus parce que la société suite à cet enrichissement soudain est devenu beaucoup plus social. Et le social a engendré tous les biais psychologiques que l’on connaît aujourd’hui qui font qu’on a l’impression d’être dans une fin du monde alors qu’en réalité, toute crise est une opportunité.

François : d’un point technique, c’est lors de récession que les plus grandes richesse se sont créées. Mais nous pouvons observer le même phénomène d’un point de vue plus macro aussi avec des durées beaucoup plus longues. C’est là que les nouvelles civilisations se sont mises en place. Ce n’est donc pas la fin du monde.

Rémy : Oui. Il y a quand même des gens qui vivaient en marge de la société quand tout allait bien, mais qui ont quand même fait des choses. C’est comme si nous disions que entre 2000 et 2020, ce sont les GAFAS qui ont créer de la valeur. Néanmoins, nous ne sommes pas à l’abri que l’entrepreneur de demain ait vu le jour en 2010 et qu’il était sous-côté. Si on prend l’exemple de Tiger Woods, il peut faire un mauvais coup, il va y penser quelques secondes et après que ces secondes sont passées, il va passer à autre chose. Il va tout simplement se concentrer sur le prochaine coup. Nous, cela fait dix ans que nous entendons que c’est la fin du monde, que c’est le fin de l’économie. Mais à côté de cela, quelles sont les solutions que ces mêmes personnes vont proposées ? Mais là le podcast, la plupart des personnes vont rien apprendre. En effet, mois j’amère une manière de voir les choses.

François : Il est possible de voir différentes personnes :

  • Les alarmistes qui vont rien faire.
  • Il y a également une grande partie des gens qui continue avec cette logique  de « je ne peux pas changer le monde ».

D’où venons-nous ?

Rémy : chaque personne est différente. En effet, que ce soit par sa couleur de peau ou son groupe sanguin, chaque être humain est différent. Nous avons tendance à croire que l’être humain est raciste, mais c’est vrai. C’est dans les instinct primaires de l’humain d’être raciste. Par exemple, si demain, il y a un tsunami, le premier réflexe sera de sauver une personne qui a la même couleur que nous. Et c’est l’éducation qui a rendu les gens moins racistes.

François : c’est ce dont on parlait avant l’émission. C’est le principe même de l’égalité où beaucoup de genre sont obsédé par ça. Les gens oublient que nous sommes des animaux  et qu’on a la même nature que ces derniers. On obéit tout simplement au lois de la nature. L’égalité est contre-nature.

Rémy : effritement, et on a tendance à croire que l’égalité c’est bien et que c’est ainsi que le monde fonctionne. Mais on se rend vite pas compte que le monde ne fonctionne pas bien.

Égalisme, socialisme, wokisme

Rémy : nous n’allons nous le cacher, le monde ne fonctionne pas bien depuis que le socialisme est venu. Le monde a cessé de bien fonctionner à partir du moment où on leur a donné des logements gratuits. Avant que les gens avaient besoin d’un logement, ils allaient travailler, ils avaient un objectif, un cadre, une volonté de se reproduire parce qu’il y avait quelque chose à transmettre également. Là, à l’heure actuelle, on perd nos repères : rien ne nous apparient, nous n’apprenons rien, on ne sait plus trop quel sens donner à son travail parce que demain il n’existera plus dans un futur proche, par exemple. Actuellement, on part de l’individu pour créer une société qui est complètement différente de celle qu’il y a à côté de nous.  La base elle est quand même là : on a voulu mettre le social à l’origine de tout alors que le monde ne fonctionne pas comme cela.

François : on fait face à l’adaptabilité de l’être humain qui est tout à fait naturelle et qui va rebondir face à cette doctrine sur le social où les gens sont obsédés par l’égalité.

Rémy : Mais quand on regarde, à l’heure d’aujourd’hui, le social est ait par des gens qui ont soit besoin de se racheter, soit parce qu’ils paient trop d’impôts, soit des gens qui vivent du social. Par exemple, ceux qui travaillent dans le social sont soit des personnes qui n’ont pas eu d’autres choix, soit des personnes qui ont besoin de vivre en aidant les autres.

Égocentrique et ouverture d’esprit

Rémy :  il est aussi possible de faire le parallèle avec l’amour. En effet, de nombreuses personnes peuvent qu’elles ont de la chance d’être en couple avec la personne. Alors, qu’il vaut mieux s’aimer soi-même avec ses qualités et ses défauts pour aimer quelqu’un d’autre. Il y a de nombreux domaines où tout part de soi. Si les personnes font un acte égoïste, elles vont se retrouver à être déçues et ravagées parce que leur moitié est partie.

François : mais il faut aussi prendre en compte qu’il y a des changements tous les sept ans, et ce, à tous les points de vue.

Différence homme-femme, genre et capitaliste

Rémy : déjà dans les relations homme-femme, il y a cette différence. On peut se poser la question en tant qu’homme « qu’est-ce que ça veut dire être homme ? » et en tant que femme « qu’est-ce que ça veut dire être femme ? ».Chez un homme, on sait ce que c’est. Mais on ne sait pas ce qu’être une femme quand elle a ses règles, par exemple. Mais quand on parle de wokisme et de féminisme, on en revient à la base : nous ne sommes pas tous égaux. Et le but est d’éduquer les enfants. Mais c’est quelque chose qui doit se faire dans le cadre de la famille. Mais les hommes et les femmes ne sont pas éduqués de la même façon. On ne voit jamais d’hommes mis en avant dans les magazines. Mais on voit énormément de jolies filles, a avec des accessoires et des vêtements. Les petites filles sont éduquées avec ce genre d’image. La femme est la seule qui peut traverser les barrières sociales.

François : est-ce que tu peux nous parler maintenant, par rapport à ce qu’on a déjà dit, de politique, de mondialisation et le sujet qui pourrait faire un lien avec tout ça ?

Conclusion sur le social et notre société actuelle

Rémy : on en est dans une société qui a remis le social en avant, sans vraiment comprendre d’os il venait et comment il fonctionnait, avec une dégradation de l’éducation. On est donc partie d’une réalité qui était vraie à un certain moment. Mais à l’heure actuelle, si on me demande « qu’est-ce qu’être français ? », c’est compliqué de répondre. Il n’y a pas plus de cadre.

Différence de cultures et de civilisations

Rémy : nous parlions de métissage tout à l’heure, c’est pareil. À l’heure actuelle, il y a des noirs ou des maghrébins qui vivent en France, il faut comprendre que leur environnement de vie est complètement différent de ce qu’il sont pu connaître. Cela est donc différent au niveau des calories disponibles que de l’environnement en lui-même ou la température. Nous les blancs, on est stressé parce qu’on doit gérer l’hiver et on se demande si on a assez de provisions pendant l’hiver. Mais les civilisations qui avaient des hivers froids et des étés chauds ont un tempérament bien plus axé sur l’entrepreneuriat et la prévision. Il y a des adaptations qui sont en fonction des environnements de chacun. Mais avec la mondialisation, ce sont des choses qui n’ont pas été prises en compte.

Le monde de demain

François : est-ce qu’on ira vers la partie du monde de demain ? Est-ce que tu veux nous faire part de ta vision du monde et de vers où on va et où on devrait aller ?

Rémy : on pense notre temps à critiquer, sans vraiment se poser de questions. Avec les générations, on est devenu très critiques, tout en perdant la compétence et la connaissance. Mais finalement, on critique, mais nous sommes, tout de même, devenu incompétent et la risée du monde. Ainsi, je pense qu’il faut découvrir et comprendre les extrêmes pour savoir et pour réussir à entreprendre le fonctionnement de la table de gris, qui est subjectif à chacun. C’est comme quand un mentor forme son élève : le mentor dit très peu de choses parce que c’est l’information qui est intéressante, mais plutôt l’axe de réflexion de la personne qui fait que quand je dis quelque chose, qu’est-ce tu visualises autour.

Nouvelles technologies et innovation

François : Est-ce que tu nous parler un peur de ta vision de tous ce qui se rapport à la technologie, comme la blockchain, la crypto ou encore le métaverse ?

Rémy : Ce sont des concepts qui devraient être gérés par un gouvernement. Mais la problématique, c’est que si ces concepts-là tombent dans les mains des entreprises privées, ça va être compliqué de vraiment faire revenir l’humain et l’Homme à titre d’individu, au centre. On va donc partir sur quelque chose de commercial.

Forêts et champignons : origine du monde

Rémy : le champignon est à l’origine du monde. Il représente le réseau de mycéllium qu’il y a sous la terre. Il y a un espèce de schéma neurone qui se balade à droite et à gauche. C’est ça qui fait le lien entre les arbres et les plantes. Mais c’est tout de même le domaine le plus sou-coté par rapport à la crise climatique que nous vivons à l’heure actuelle.

L’entrepreneuriat de demain

Rémy : il y arrive toujours un moment où des personnes vont arrivées avec des compétences et un feeling dans un domaine particulier et qui pourraient tester de nouvelles choses. C’est quelque chose qui peut, parfois tout révolutionner. À l’heure actuelle, il n’y a plus de cohésions globale puisqu’aucun plan de route n’a été établi au préalable.

Éducation et écosystèmes

François : comment veux-tu conclure cette émission ?

Rémy : le nerf de la guerre du monde actuel, c’est l’éducation, c’est l’accès à ce qui est intéressant pour le monde de demain. On étudie à l’école, mais on ne sait pas pourquoi on étudie. L’enfant ne va pas comprendre de lui-même pourquoi il doit étudier. C’est aux adultes de lui pourquoi il doit étudier. Mais le plus important c’est l’écosystème. Si on prend l’exemple de la ligne droite et du cercle, généralement on pense que la ligne droite est mieux que le cercle. Néanmoins, sans ligne droite il n’y a pas de cercle. Et si quelqu’un suit la ligne droite, il n’a pas le droit à l’erreur : il est donc cassant et non résiliant. Dans un cercle, s’il y a un intervenant qui fait défaut, le cercle continue de tourner. Il faut donc réfléchir en écosystème.

Metaverse et simulation de la Nature

Rémy : si nous prenons le Metaverse et que l’ont créé une terre de la même dimension que la planète et on lui met des données comme la gravité ou l’accélération et on met en accès des éléments modifiables propres à chacun. On met en plus les individus et les plants. Le but est de partir du monde actuel. Ce qui va être intéressant est tout simplement de faire des mises à jour. Mais une fois qu’on a ces différents modèles et différents calculs, chaque personne serait capable de prendre un champignon ou d’acheter un terrain. Le fait de l’avoir modélisé va permettre de pouvoir avancer à raison de 10, 50 ou 100 ans pour visualiser l’évolution de ce qui a été mis en place sur le terrain. Ça donne aussi un plan de gestion de la vie animale. C’est le côté un peu amusant. Maintenant, si nous prenons le deuxième niveau, on sait que le désert et les glaciers existent pour une raison, par exemple. Mais s’il n’y a pas d’extrême, il n’y a pas de climat tempéré. Le but n’est pas de raisonner chacun à l’échelle de son jardin, mais de raisonner à l’échelle de la nation.

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